La Miss Guinée 2012 facebookeuse par excellence

Depuis l’élection de la Miss Guinée 2012 Kaba Koulako le 18 janvier 2013 au Palais du peuple, La Miss Koulako fait la belle vie et le bon temps en ignorant purement et simplement les règlements du Comigui pendant qu’elle est la représentante de la beauté guinéenne. L’on se demande aujourd’hui quel rôle joue le Comité d’organisation de Miss Guinée (Comigui) ?
La reine de la beauté guinéenne n’arrête pas de s’exhiber sur sa page facebook tout au long de la journée avec ses amis qui viennent de partout. Elle fait circuler ses photos à travers ce réseau social, une chose qui n’est pas bon pour les personnes publiques.
Connaissant les conséquences de ses réseaux sociaux, la plus belle de Guinée n’a ni le complexe ni la peur d’être responsable afin de ne pas piétiner la dignité de l’une de nos plus grandes richesses qui n’est autre que la beauté guinéenne. Mlle Koulako Kaba se permet d’afficher ses propres photos avec des positions et styles qui séduisent, parfois des styles de mannequinat habillée dans des jupes muni et d’autres positions que l’on ne peut même pas expliquer.
L’on se pose la question de savoir pourquoi elle est si bouillante de la sorte. Si l’on vérifie bien, son voyage pour le Salon du livre de Paris n’a jamais été officialisé par le Directeur de l’Harmattan-Guinée M. Sansy Kaba Diakité, elle a été à Paris à ses charges dont plusieurs personnes se demandaient d’où sont venus ses frais de voyage, parce que d’autres membres du COMIGUI n’étaient pas informé de son voyage pour Paris, ni pour la Côte d’Ivoire au mois de Mai.
Cela prouve à suffisance que le COMIGUI n’a pas l’œil sur la Miss Guinée 2012. Elle fait ce que bon lui semble. Il faut souligner que depuis Mlle Kaba Koulako est élue, aucune action allant dans le sens de la communication et les actions de la Miss durant son mandat n’est jusqu’à présent pas fait. 
Ces pratiques doivent donc interpeller la conscience des initiateurs de l’évènement Miss Guinée qui, si elles ne sont pas soignées, pourront bien ternir les images de ladite structure, qui se veut pourtant garante de l’éducation culturelle, scientifique et prometteuse de la beauté guinéenne.

Affaire à suivre.