Le directeur de l’agence guinéenne de spectacle (AGS) Malick
Kébé devient de plus en plus méconnaissable. L’homme qui fut l’un des pionniers du mouvement rap en Guinée s’éloigne
au fur et à mesure de la culture. Ceux qui l’ont connu étant PDG de contact
évolution, derrière le premier groupe de rap en Guinée KILL POINT, dans
l’organisation des spectacles du premier festival de rap en Guinée (RAP AUSSI),
et dans la production de certains talents comme le groupe MIFA GUEYA pensent
qu’il trépigne tous ces mouvements depuis qu’il est devenu directeur de l’AGS.
Des reproches qui se concrétisent en le voyant très actif en milieu sportif que
culturel. Aujourd’hui le numéro un de l’AGS est beaucoup plus fréquent derrière
les footballeurs amateurs que dans l’épanouissement de la culture ou dans la
gestion des spectacles en Guinée.
Depuis quelques temps les spectacles sont incontrôlés à Conakry
et même si cela est fait c’est par favoritisme.
La preuve en est que lors du concert SEXION D’ASSAUT à conakry, un important
dégât matériel a été enregistré sans oublier des centaines de blessés. Malgré tout,
aucun mot de l’AGS pour le maintient d’ordre à ce niveau. Et fréquemment on constate les conflits de réservation des
dates pour les spectacles entre les operateurs culturels y comprit le non respect de l’interdiction des
spectacles sur les plages au de là de 18 heures.
Malick Kébé est aujourd’hui souvent présent dans les stades
uniquement pour manager les footballeurs amateurs pour pouvoir se remplir les
poches. Tempi pour la culture et la gestion des spectacles.
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